Tous les comtes de fée commence par « Il était une fois, il y a bien longtemps, dans un pays lointain, très lointain ». J'aurais aimé que ma vie soit un comte de fée avec des lapin rose qui parle, mais je ne suis pas une princesse. Non, ma vie est belle est bien ancrée dans la réalité. Il y a donc un lieu, il y a donc une date...et des personnes... A son commencement. Car toutes vie à un commencement, et pour tous le monde... c'est toujours la même choses :

Il y a d'abord la douleur, puis l'affolement, parfois les bruit d'une ambulance, puis des cris de douleur, du sang... Et un petit être fragile, parfois laid, parfois beau. Ce petit être cris alors de toutes la force que lui donne ses petits poumons. On parle alors d'une naissances, et .. ce petit être, on appelle ça un nouveau né, un bébé. Tous le monde a été un bébé au moins une fois dans sa vie, même si rare sont les personnes qui se rappelle de leur premier instant de vie. Et je suis comme tous le monde. Je suis venu au monde dans les cris de douleur, et presque de rage, de ma mère. J'ai moi aussi était un bébé...même si moi aussi, je en m'en rappelle pas. Tous ce que je sais, sur ma vie de nouveau né, ce sont mes parents qui me l'ont apprit. Mais...est-ce vraiment important de savoir que je m'endormais que devant un match de foot ? Que je ne supporter pas le lait ? Que je tirait la queue du chat quand il me dépassait alors que j'étais encore au stade quatre pattes ? Non... Vous n'en avez rien à faire, et je vous avoue que moi aussi, je ne trouve pas tous ceci d'une importance capitale. Les seule choses vraiment capital à savoir, c'est que mon histoire débute donc grâce à l'union de Léanor et Ian Williams, il y a 22 ans de cela, dans un petit hôpital insalubre de New York, et que j'ai vécu la plus grande partie de ma vie, dans le Bronx...

Non non, vous ne rêver pas. J'ai bien dit le Bronx. Et oui, les petites blondinettes existe aussi dans le Bronx. Je faisais partie de ceux pour qui Manhattan était un autre monde, un rêve lointain, auquel il était impossible d'accéder. J'étais de ceux qui, haineux et honteux de leur pauvreté, traîné tard le soir dans la rue en cherchant plus ou moins à se faire respecter. Je n'étais pas droite, j'étais bancale. Dans le Bronx, tes parents travaille tard et bien trop longtemps pour que tu les voient. Tous ça pour quoi ? Un salaire de misères servant à payer un loyer trop cher d'un appartement trop insalubre. Trop de trop n'est-ce pas ? Mais le Bronx est un autre monde. Le pire là dedans, c'est d'être une fille, et d'être blanche. J'étais les deux. Dans ce cas là, on apprend vite à mettre sa douceur de côté, on apprend vite à se battre. J'étais pauvre, comme eux, j'étais honteuse, comme eux, j'étais rejeté du reste du monde, comme eux... Mais je gardée espoir...
Et cet espoir, eux... Ils avaient appris à ne plus en avoir. Ils étaient, a à peine plus de dix année de vie, à resté pauvre. Ils ne cherchaient pas à s'enfuir de ce monde dans lequel ils étaient né, ils finiraient comme leur parents. Pas parce que c'était une fatalité. Non, parce que ils le croyaient. Pas moi.

J'étais une battante, je le suis toujours, et je l'ai toujours été. On ne se sort pas du Bronx en étant résigné. On ne s'en sort pas non plus en se battant. On se bat pour survivre à l'intérieur de ce quartier. Pour en sortir. On étudie. N'importe où, n'importe quand...dès qu'on peut, on s'accroche, il y a toujours des branches pour nous empêcher de tomber. Je voulait sortir de ce quartier qui pourrissait ses habitants de l'intérieur. J'en suis sortit. Mais je ne peux pas dire que ça soit grâce aux études...Non. J'avais dix-sept ans. Dit comme ça, on pourrait presque croire qu'un drame arriva. Rassurer vous, le drame, c'est pour plus tard. Non. Je fut seulement repérer par une grande agence de mannequins connu à travers le monde entier. Elite, vous connaissez ? Eh bien voilas.
J'étais réticentes, si je faisais, et fait toujours, attention à mon physique, le monde du mannequinat et de la superficialité, ce n'était pas moi. Et pourtant.... Bah, on s'y fait vite, on acquiesce quand une idiote vous demande si elle à une belle peau... Non, le métier de mannequins n'étais, et n'est toujours pas, si déplaisant que ça. Surtout quand on gravit vite les échelons comme moi. Il suffit de faire abstraction de la jalousie des autre et de leur attitude bien trop superficielle... Je voyageais beaucoup, j'ai fini par devenir une des mannequins les plus connu et les plus demander du monde. J'avais vingts-ans.

Et là, et bien on peut prononcer la fameuse phrase : « Et là, c'est le drame ».
J'avais acheter un appartement en banlieue chic de New-York à mes parents. Parfois je me dit, que ça se serait passé autrement si je les avais laissé au Bronx. Mais ce qui est fait est fait et ne peut être défait .C'était tard le soir ou tôt le matin. Quand on revient d'une longue journée de fashion week, on perd la notion du temps. Je n'avais pas d'appartement à moi. Je n'en voyais pas la nécessité, avec le métier que je fait, on passe son temps à voyager, et avoir un pied à terre est presque du domaine de la plaisanterie. C'est ce que je pensais à l'époque. Je vous fait patienter, je sais, vous attendez le drame avec impatience. Sachez, que quand je défiler à New York, je crécher chez mes parents. J'avais donc le doubles des clé...
Ce soir, ou ce matin là.. Je me rappelle distinctement la poignée de la porte d'entrée. Elle était cassé, il n'y avait qu'a poussé la porte. Ce que, inconsciente comme j'étais, je fit. Je me dirigea directement dans la chambre de mes parents, inquiète. Ils étaient là, étendu, mort, vidé de leur sang. Et IL étaient encore là, debout, à la peau blanchâtre, le sang de mes parents dégoulinant sur ses lèvres; Ces ainsi que j'appris l'existence des vampires... Il disparut, me laissant, je ne sais pourquoi, encore en vie...

Depuis ce soir, ou ce matin, là... J'ai une double vie à côté du mannequinat. J'ai aussi un vrais pieds à terre. A Las Vegas.
Je passe mon temps entre les défiler, et la traque au vampire. Parfois, je traque d'autres «choses ». Oui, car il n'y a pas que les vampires qui soient réel... Mais ça, c'est une autre histoire. Vous connaissez l'histoire de Helena Williams avant, je vous invite à suivre celle de Helena Williams après...

A venir